James Hale, “Kenny Wheeler: In A Melancholy Tone,” Downbeat (August 1997). Jack Litchfield, The Canadian Jazz Discography 1916–1980 (Toronto, 1982). Initialement reconnue comme une pianiste jazz, Diana Krall aide à populariser le jazz auprès d’un auditoire plus vaste et est parmi les interprètes ayant connu le plus grand succès commercial de ce genre musical du début des années 2000. Français : Diana Krall née le 16 novembre 1964 à Nanaimo en Colombie-Britannique au Canada, est une pianiste et chanteuse de jazz canadienne. (acronyme de Northern Organic Musical Associations, dirigé par le trombone Tom Walsh). Pages dans la catégorie « Chanteuse de jazz canadienne » Cette catégorie contient les 14 pages suivantes. L’ouverture de nouvelles boîtes de nuit, dont le Jazz Bistro à Toronto, l’Upstairs et l’Astral à Montréal et le Largo à Québec parmi les plus notoires, ne suffit pas à combler le vide laissé par l’échec des anciens établissements. Parcourez l'annuaire pour découvrir l'agenda de Molly Johnson, Kellylee Evans ou encore Diana Krall avec les dates de leur tournée française. De Victoria à Halifax, les huit festivals les plus populaires profitent d’une avancée importante en 2002, lorsque le Groupe financier de la Banque TD leur accorde un financement à long terme (jusqu’en 2014). Au cours des années 1980, elle évolue sur la scène internationale grâce à une série d’enregistrements : In Dew Time, New York Duets et Live At Sweet Basil, dans lesquels elle exhibe son talent aux côtés d’artistes américains reconnus, comme le pianiste Don Pullen et le saxophoniste Dewey Redman. Parmi les musiciens du Canada ayant les compétences d’improvisation exigées d’un musicien solo en vogue, il y avait également le cornettiste Jimmy « Trump » Davidson, le joueur de trombone Seymour « Red » Ginzler et le saxophoniste Cliff McKay à Toronto, les saxophonistes Charlie See et Chick Inge à Vancouver, et le saxophoniste Adrien « Eddy » Paradis et plusieurs musiciens américains (par exemple les frères Johnson et Shorter) à Montréal. Plusieurs autres albums réalisés au cours des années 1970 sont financés et produits par les musiciens eux-mêmes. She has three sisters and one brother. Il se caractérise par sa nature improvisée, sa vitalité rythmique (par ex. Plusieurs d’entre eux acquièrent leur renommée après avoir déménagé aux États-Unis, comme les pianistes Andy Milne, Jon Ballantyne, John Stetch, Renee Rosnes et D.D. Pendant que certaines approches contemporaines poursuivent leur lent développement au Canada, le jazz « mainstream », un style mélodique et modéré au point de vue émotif, mélangeant les traditions plus anciennes du swing et du bebop, profite d’une popularité constante. Quarante ans plus tard, il est toujours partiellement actif au sein du programme à titre directeur honoraire du programme de formation en musique jazz, rôle qu’il avait endossé en 1991 peu après que l’université ait commencé à offrir un diplôme en musique jazz. Dès les années 1950, le jazz établit son territoire dans les boîtes de nuit : The Cellar et le Glass Slipper à Vancouver; le Yardbird Suite (dans ses multiples incarnations) à Edmonton; les tavernes Colonial et Town, George’s Spaghetti House, Bourbon Street, le Montréal Bistro, The Rex et Top O’ The Senator à Toronto; Take Five et After Eight à Ottawa; Rockhead’s Paradise, Café St-Michel, La Jazztek, Le Jazz Hot, le Rising Sun et Biddle’s à Montréal, ainsi que l’Hôtel Clarendon à Québec . Pianiste à ses débuts, Jane Bunnett se tourne vers le saxophone soprano après avoir développé une tendinite. Le percussionniste colombien Guillermo Memo Acevedo présente à Toronto son orchestre de salsa d’envergure variable, le Banda Brava, et devient une figure de proue du développement du jazz latin au Canada. Le style appelé « west coast cool » (ou « style de la côte Ouest »), qui précède le bebop d’environ cinq ans, est popularisé au Canada au milieu des années 1950 par des groupes dirigés par Ron Collier et Fraser MacPherson, par Rob McConnell dans les années 1980, ainsi que par les arrangements de Phil Nimmons et d’autres compositeurs de musique pour grand orchestre. Il ne reste que très peu de traces des premiers groupes et musiciens de jazz canadiens. Parmi les variantes du grand orchestre, il y a le groupe Brass Connection de Doug Hamilton (cinq trombones et une section rythmique) formé en 1979, à Toronto; l’Alberta Jazz Repertory Orchestra, actif à Edmonton sous plusieurs directeurs au milieu des années 1980; l’orchestre de new-music/jazz Hemispheres, à Toronto, ainsi que les grands ensembles au style libre et improvisé dirigés par Jean Derome à Montréal (la G.U.M.) # honeysucklerose # jazz # chanteuse. Wallflower est le douzième album studio de la chanteuse et compositrice canadienne Diana Krall, sorti le 3 Février 2015.. Toutes les chansons sont des reprises des années 70 ou 80 sauf pour une inédite signée Paul McCartney, If I Take You Home Tonight. Ce type de formation connaît une renaissance au cours des années 1990, avec le groupe Neufeld-Occhipinti Orchestra (NOJO; formé à Toronto par le pianiste Paul Neufeld et le guitariste Michael Occhipinti), qui mettait régulièrement en vedette des solistes comme Sam Rivers et Don Byron; il y eut aussi le Hard Rubber Orchestra et le New Orchestra Workshop (NOW) Orchestra de Vancouver, ce dernier comprenant la chanteuse Kate Hammett-Vaughan comme participante à part entière. L’émergence de la musique du monde, ou « rythmes du monde », comme influence sur la musique populaire de la fin des années 1980 est représentée au Canada par Ron Allen (joueur de shakuhachi, un type de flûte japonaise), le groupe Anoosh (dirigé par Raffi Niziblian, d’origine arménienne-italienne), le Flying Bulgar Klezmer Band (connu plus tard sous le nom de The Flying Bulgars), le pianiste et koriste Daniel Janke, le chanteur El Kady (aussi connu sous le nom de Ricardo Pellegrin, originaire de la Guinée-Bissau), Mecca, le pianiste Lee Pui Ming et le Space Trio, entre autres, qui combinent (ou adoptent) les traditions de leurs musiques traditionnelles respectives avec le jazz. : la musique de chambre au cours de la « troisième vague » des années 1950, le rock et le R et B dans un style fusionné au cours de la fin des années 1960), mais ces changements provenaient habituellement d’une innovation et d’une transformation internes. En tant que premier chef d’orchestre à employer le trompettiste Don Cherry et le bassiste Charlie Haden pour se joindre à lui au Hillcrest Club de Los Angeles, Paul Bley joue un rôle prépondérant dans le lancement de la carrière d’Ornette Coleman. Parmi les vocalistes actifs au cours de cette même période dans une gamme de styles variés : David Blamires, Joanne Desforges, Trudy Desmond, Francks, Kate Hammett-Vaughan (du groupe Garbo’s Hat), June Katz, Ming Lee, Ranee Lee, Moreen Meriden, Denzil Pinnock, Arlene Smith, Corry Sobol, Tena Palmer et Karen Young. Au cours des années 1980, les nouvelles approches, telles que prônées par le célèbre saxophoniste américain John Coltrane, devinrent plus présentes dans les œuvres de la dernière génération de musiciens, comme Mike Allen, Ron Allen, Ralph Bowen, Patric Caird, Phil Dwyer, Rob Frayne, Kirk MacDonald, Mike Murley, John Nugent, Yannick Rieu, Mike Sim, Simon Stone, Perry White et Mike Zilber. À l'origine pianiste et chanteuse occasionnelle, Diana Krall développe une manière solide d'interpréter des chansons d'amour du répertoire américain qui renouvelle le rôle de la femme dans le jazz. Jusqu’en 1980, la maison de disques RCI possède la plus importante collection d’enregistrements de musique jazz canadienne, comprenant approximativement 500 albums dont 45 de musiciens jazz. All structured data from the file and property namespaces is available under the Creative Commons CC0 License; all unstructured text is available under the Creative Commons Attribution-ShareAlike License; additional terms may apply. D’autres villes comptent des groupes ou musiciens adeptes de musique traditionnelle, ou dixieland : Lance Harrison à Vancouver, dès 1950; le cornettiste Peter Power à Halifax pendant les années 1950; le Capital City Jazz Band dirigé par le pianiste Gordon Bennett, formé à Ottawa dans les années 1950 et concurrencé au début des années 1980 par le Apex Jazz Band; le Limestone City Jazz Band (fin des années 1950, jusqu’au début des années 1960) à Kingston, en Ontario et le trompettiste Russ Meredith (années 1940 et début des années 1950), le Mountain City Jazz Band (années 1950 et début des années 1960), ainsi que le Al Peters Jazz Band (années 1970) à Montréal. D’autres groupes populaires ont été dirigés par Jimmy Scott et le trombone Bud Hill. Également en 1924, Guy Lombardo enregistre à Richmond, en Indiana, avec les Royal Canadians, ainsi qu’à London, en Ontario, avec son groupe torontois New Princes. Plusieurs nouveaux développements se succèdent, sous la forme du « hard-bop », « post-bop » et le jazz modal, et d’autres déclinaisons font peu à peu leur apparition au Canada; seules les œuvres de Brian Barley, Sonny Greenwich, Lenny Breau, Claude Ranger et une poignée d’autres se les approprient, la majorité des musiciens préférant demeurer fidèles aux conventions rigides du jazz canadien. Parmi les groupes fusion notoires des années 1980 figurent Barclay Road, les Beards, Five After Four (dirigé par le batteur Vito Rezza), Mélosphere (dirigé par le violiniste Helmut Lipsky), Northland (qui devient plus tard Nortlan), l’Orchestre Sympathique, Quartz, Purple Changes, Strangeness Beauty (voir David Piltch), Synthetic Earth, Tasman, ainsi que les formations de Ron Allen, celles du claviériste Aaron Davis, des guitaristes Brian Hughes, Joey Goldstein, Sylvain Provost et Carlos Lopes, du saxophoniste Earl Seymour, du violoniste Hugh Marsh et du batteur Mathieu Léger. Very proud to be Canadian, fière d’être canadienne. Plusieurs nouvelles étiquettes consacrées au jazz ou à la musique d’improvisation voient le jour au cours des années 1980 : Innovation (1981), Unisson (1985) et Unity (en 1988, voir John MacLeod) à Toronto; Parkwood (1983) à Windsor; Justin Time (1983), Ambiances magnétiques (1985) et Amplitude (qui lance des albums jazz dès 1989) à Montréal, ainsi que Victo (1987), une initiative du Festival international de musique actuelle de Victoriaville. Kiesza took part in the Young Canadians, performing tap and jazz dancing, as well as theatre. Les musiciens d’origine canadienne qui ont œuvré au sein de la communauté jazz britannique incluent : le saxophoniste Bob Burns, qui travailla au sein de grands orchestres et d’orchestres de studio après les années 1950s; Diz Disley, guitariste pour Stéphane Grappelli pendant les années 1970 et 1980; Art Ellefson; le clarinettiste Wally Fawkes, qui travailla au sein de groupes britanniques « traditionnels » (et qui, comme Diz Disley, fut également un dessinateur de bande dessinée reconnu; il créa la série « Flook » pour le journal londonien Daily Mirror pendant plus de 40 ans); Max Goldberg, le trompettiste soliste le plus demandé des orchestres de danse et de jazz britanniques des années 1930; le trombone Ian McDougall; le compositeur et saxophoniste montréalais John Warren, reconnu pour Tales of the Algonquin (1971), et dont le grand orchestre parcourut l’Europe continentale au cours des années 1970, ainsi que Kenny Wheeler. James Hale, “Canadian Colleges: Where Jazz Thrives,” Downbeat (October 2013). Ron Paley compose et présente en primeur, avec son trio ou son grand orchestre, quatre œuvres avec l’orchestre symphonique de Winnipeg (1979 à 1987); Ian Sadler dirige le Jazz Repertory Orchestra de l’Alberta, dans le cadre d’un programme de compositions originales au Jazz City en 1982, et Tim Brady (compositeur jazz et de « new-music ») réalise Visions, enregistré avec la participation de Kenny Wheeler en 1985. Bien qu’historiquement, les vocalistes figurent parmi les musiciens jazz les plus populaires, peu de chanteurs sont reconnus au Canada avant 1990. Italiano: Diana Krall Ha venduto oltre 6 milioni di dischi negli USA e oltre 15 in tutto il mondo; inoltre, durante gli anni '90 e 2000, è stata l'artista jazz donna più venduta e ascoltata. Dans le secteur privé, Ted O’Reilly (CJRT-FM, à Toronto), Ron Sweetman et Jacques Emond (tous deux à CKCU-FM, à Ottawa) et Len Dobbin (FM 96, à Montréal) animent tous des émissions de jazz pendant plusieurs années. Paul Ruhland, Doug Riley et Don (W.) Thompson utilisent le dodécaphonisme (ou musique dodécaphonique) dans la composition de thèmes pour les groupes ou les orchestres jazz. Ils se produisent dans des châteaux, clubs de jazz et salles de concert à Paris - comme Le Zèbre, Le Réservoir et L’Ermitage et jouent régulièrement pour des fêtes et des mariages dans des hôtels - au Crillon, au George V et à la … Simultanément, le quatuor coopératif Metalwood (composé des musiciens Brad Turner, Mike Murley, Chris Tarry et Ian Froman), basé à Vancouver, domine les prix Juno avec des enregistrements consécutifs (de 1998 à 2004). Comme les origines du jazz n’ont pas été documentées (par exemple, au moyen d’enregistrements), une controverse persiste sur celles-ci. Le pianiste et bassiste Stuart Broomer dirige ses premiers groupes à Toronto en 1966, alors qu’au même moment à Vancouver, Al Neil passe du bebop à la « new music ». Quatre étiquettes californiennes démontrent de l’intérêt pour les musiciens canadiens : Concord (voir A & M), sa maison de disque affiliée The Jazz Alliance (lancée en 1991 sous l’égide de Phil Sheridan, anciennement avec Innovation), Nine Winds et Music & Arts. Notre équipe examinera votre soumission et vous répondra pour toute autre question. Le style fusion a été tout particulièrement populaire au Québec, en partie grâce à l’influence marquée du groupe UZEB. Suite au succès retentissant de Krall, les étiquettes de disques et les amateurs de jazz se mettent à la recherche de nouveaux talents à encourager; accordant davantage d’attention à des chanteuses canadiennes comme Kellylee Evans, Nikki Yanovsky, Carol Welsman, Amy Cervini, Sophie Milman, Emilie-Claire Barlow, Laila Bialli, Molly Johnson et Jill Barber. La percée la plus importante pour la musique latine au Canada arrive en 1982, lorsque la saxophoniste torontoise Jane Bunnett et son conjoint trompettiste Larry Cramer visitent Cuba. Avant cette époque, elles avaient été adoptées par des musiciens tels que Bob Brough, Alvinn Pall, Ron Park, Michael Stuart et John Tank, sans toutefois que leurs efforts soient reconnus. Eleanor Collins et Phyllis Marshall sont des précurseures, présentées à la radio et la télévision de la CBC au cours des années 1940 et 1950; parmi les vocalistes les mieux connus, Eve Adams, Salome Bey, Don Francks, Anne Marie Moss, Aura (également connue sous le nom d’Aura Rully), Arlene Smith et Eve Smith assurèrent ensuite leur relève. D’autres Canadiens comme Ed Bickert, Sonny Greenwich, Claude Ranger, Fred Stone et Nelson Symonds, Barry Elmes, Al Henderson, Jean Derome, Brad Turner et Phil Nimmons établissent des traditions locales dans leurs villes d’origine respectives et leur influence sur les générations suivantes de musiciens canadiens rivalise celle des musiciens américains les plus respectés. Les pianistes Wray Downes et Milt Sealey, ainsi que le bassiste Lloyd Thompson, travaillent beaucoup en Europe au milieu des années 1950; le pianiste montréalais Fred Henke et le saxophoniste alto torontois Mike Segal y sont très demandés à la fin des années 1980. D’autres orchestres voient le jour dans les années 1960, y compris ceux sous la direction du trombone Ray Sikora à Vancouver, ceux de Ron Collier, Pat Riccio et Don Thompson à Toronto, et ceux de Lee Gagnon et Vic Vogel à Montréal. Le jazz continue à faire partie de la musique populaire canadienne de manière accessoire au cours des années 1930 à 1940, bien que certains musiciens clés diffusent ce genre musical dans plusieurs régions : McKay, Trump Davidson, Ted Davidson, Bobby Gimby, Bert Niosi et Pat Riccio à Toronto; Paradis, le violoniste Willy Girard, le pianiste Bob Langlois et le saxophoniste Stan Wood à Montréal; le saxophoniste Carl « Beaky » DeSantis, le guitariste Ray Norris, et les pianistes Bud Henderson et Wilf Wylie à Vancouver. Parmi ces émissions : 1010 Swing Club (de 1941 à 1948), suivie de Jazz Unlimited (1948 à 1965, avec l’animateur Dick MacDougal jusqu’à son décès en 1957, ensuite avec Phil MacKellar); Jazz at Its Best (1950 à 1976, avec Ted Miller à Montréal); Jazz Workshop (1954 à 1965), mettant en vedette des groupes provenant de diverses villes; Jazz Canadiana (1965 à 1971); Jazz Radio-Canada (1974 à 1980), de Winnipeg avec Mary Nelson et Lee Major; After Hours (1993 à 2001), de Winnipeg, avec Ross Porter; Jazz Beat(1983 à 2003), de Montréal, avec Katie Malloch, ainsi que Tonic, initialement animée par Katie Malloch et Tim Tamashiro, en alternance, puis seulement par Tim Tamashiro après la retraite de Katie en 2012. Des festivals de plus petite envergure se développèrent également dans des régions moins peuplées, y compris à Pender Harbour en Colombie-Britannique, à Guelph en Ontario, à Rimouski au Québec, ainsi que dans la ville de Québec. Jackson; la trompettiste Ingrid Jensen; les saxophonistes Seamus Blake, Michael Blake, John Nugent et Andrew Rathbun; le guitariste Kevin Breit; les bassistes Michael Bates et Chris Tarry, ainsi que les batteurs Harris Eisenstadt et Owen Howard. James Hale, “Nonconformist Contemporary Canadians,” Downbeat (June 1999). Lois was school teacher at the time and Abe was the co-owner of a hardware store. Find album reviews, stream songs, credits and award information for Chanteuses de Jazz: 1921-1939 - Les Chanteuses De Jazz on AllMusic - 1997 Étant lui-même diplômé des programmes de musique classique de la Juilliard School et du Royal Conservatory of Music, Phil Nimmons se joint au pianiste Oscar Peterson et au bassiste Ray Brown en 1960 pour mettre sur pied l’Advanced School of Contemporary Music, exploitée à partir de la résidence torontoise de Peterson. Au début de sa carrière, Kenny Wheeler, qui avait déménagé en Angleterre en 1952, œuvre au sein de groupes commerciaux et fait l’expérience de prestations devant public avec certains artisans du free-jazz, y compris John Stevens et Evan Parker. Bley devient ensuite un membre clé de l’influent trio du clarinettiste Jimmy Giuffre (accompagnés du bassiste Steve Swallow). But there are still singers trying to emulate her magical voice. Le chanteur cubain Chicho Valle dirige des groupes de musique latine (par ex. Browse the top quebecois artists to find new music. catégorie « Chanteur de jazz canadien Â», https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Catégorie:Chanteuse_de_jazz_canadienne&oldid=177109360, Projet:Amérique du Nord/Catégories liées, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions. Les débuts commerciaux de ce style musical, d’une plus grande pertinence quant à son histoire au Canada, sont habituellement retracés à 1917 (y compris l’enregistrement de « Darktown Strutter’s Ball », de Shelton Brooks); plus spécifiquement, les enregistrements d’un quintette caucasien de La Nouvelle-Orléans, le Original Dixieland Jazz Band. Le terme relatif « avant-garde » en vient à désigner, dans les années 1980, la musique de Tim Brady, la musique actuelle de Jean Derome, Justine et René Lussier, l’approche « harmolodique » de Not King Fudge et de N.O.M.A., la musique harmonique d’Hemispheres et le style fusion-libre de Lunar Adventures. En 2000, le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) émet une licence à Canwest Media , basé à Winnipeg, pour la mise sur pied de CoolTV, une chaîne de télévision consacrée à la diffusion de vidéos de musique, de spectacles et de films à contenu axé sur le jazz. De manière plus significative, après les années 1990, un style de composition typiquement canadien émerge; il se distingue de la musique créée aux États-Unis par le biais d’une différence sociale caractéristique du Canada et des États-Unis : l’expression d’une mosaïque culturelle, versus celle d’un creuset de cultures. This page was last edited on 8 July 2020, at 07:20. Souffrant d’un décalage de dix ans au niveau de la croissance comparativement aux États-Unis, les programmes de formation en matière de jazz au secondaire ont été défendus principalement par l’ancien chef d’orchestre Phil Nimmons. L’étiquette Unity, en particulier, offre aux musiciens l’occasion d’enregistrer sans devoir se conformer au goût du jour. Sa version la plus celèbre est bien sûre celle de Frank Sinatra enregistrée en 1964.La version que Sarah Vaughan nous propose, avec sa technique vocale incroyable, son … Elle a vendu plus de 15 millions d’albums dans le monde et a atteint un niveau de célébrité sans précédent en tant que musicienne de jazz contemporain. : le « swing ») et sa capacité à exprimer les émotions. Voir aussi la catégorie « Chanteur de jazz canadien Â» pour les personnalités masculines. John Gilmore, Who's Who of Jazz in Montréal (Montréal, 1989). (July 2015) (Learn how … La fusion des préceptes du jazz, ancrés dans l’improvisation, avec la technologie (par ex. La popularité grandissante des médias numériques vers la fin des années 1990 et au début des années 2000 cause une réduction importante de l’auditoire des spectacles en direct, et cette baisse est ressentie par tous les styles musicaux. Files are available under licenses specified on their description page. Paul Bley est un personnage important du mouvement « free-jazz » du début des années 1960; ses trios servent de modèles à plusieurs pianistes américains, européens et canadiens. : Louis Armstrong, Thelonious Monk, Miles Davis, John Coltrane, etc. Le groupe The Original Creole Orchestra, originaire de La Nouvelle-Orléans et comprenant le cornettiste Freddie Keppard, se présente sur le circuit des salles de spectacle Pantages dans l’Ouest canadien entre 1914 et 1916; Jelly Roll Morton offre des prestations dans les cabarets de Vancouver dès 1919, et jusqu’en 1921. Déjà dans les années 1940, les musiciens jazz empruntent les rythmes latins et les groupes de musique latine comprennent des musiciens jazz à qui l’on attribuait des rôles d’improvisation. This article may require cleanup to meet Wikipedia's quality standards.The specific problem is: some sections are alphabetized on people's first names instead of their surnames Please help improve this article if you can. Elle a notamment doublé des personnages de 6teen, Sailor Moon, Rescue Heroes, Dragon Warrior, Martin Mystery et Total Drama Island. L’influence de Krall se fait également sentir dans la popularité de deux vocalistes masculins : Michael Bublé, qui se mérite l’attention des vétérans de l’industrie musicale canadienne Paul Anka et David Foster, ainsi que Matt Dusk. » Symonds poursuit son travail dans la même veine tout au long des années 1960 et réalise plusieurs compositions pour orchestre et solistes jazz, ou pour des groupes jazz. Millard Thomas et son groupe, le Chicago Novelty Orchestra, enregistrent à Montréal en 1924 pendant son séjour de neuf ans dans la ville. Parmi les musiciens notoires adeptes du bebop se trouvent les pianistes Wray Downes, Mark Eisenman, Hakim et Maury Kaye; les batteurs Pete Magadini et Norman Marshall Villeneuve; les saxophonistes alto Sayyd Abdul Al-Khabyyr, Dale Hillary, Bob Mover, Alvinn Pall, Leo Perron, Bernie Piltch, P.J. La série d’enregistrements sonores LM de la CBC comprend également des albums jazz. Il se caractérise par sa nature improvisée, sa vitalité rythmique (par ex. Bien que ces orchestres sont constitués d’étudiants, trois orchestres issus du Humber College, soit les orchestres « A » et « B », ainsi que le Humber Extension dirigé par Ron Collier, font partie des grands orchestres les plus populaires de la fin des années 1970 au Canada; ils sont éventuellement concurrencés par plusieurs autres écoles au début des années 1980. D’autres formations notoires font leur apparition dans les années qui suivent, comme Accento Latino, Coconut Groove et le Montuno Police (toutes deux dirigées par le percussionniste Rick Lazar), l’Orquesta Fantasia et le Ramiro’s Orchestra dirigées par Ramiro Puerta à Toronto; Arôma, Denis Fréchette Ad Lib, Québa, le chanteur et guitariste brésilien Paulo Ramos, et la percussionniste brésilienne Assar Santana et son groupe Chamel #6 à Montréal; Papa Mambo and His Gringos, dirigé par le percussionniste Rodrigo Munoz à Winnipeg, l’Afro Latin Sextet dirigé par la claviériste Kathy Kidd, ainsi que les groupes dirigés par Ray Piper et Salsa Ferreras (dirigé par le percussionniste Salvador Ferreras) à Vancouver.