913.9k Followers, 278 Following, 6,791 Posts - See Instagram photos and videos from OKLM (@oklm) La matière éjectée en orbite autour du corps central aurait alors formé un ou plusieurs objets par accrétion. Il y a trois causes permettant la création d'un satellite : l'accrétion, la capture et la collision. La plupart de ces lunes orbitent dans la direction opposée de la rotation de leurs planètes associées. Comme pour les planètes telluriques, les planétésimaux de cette région ont plus tard fusionné et formé de 20 à 30 lunes de la taille de la protoplanète martienne[41]. Lors de ce choc titanesque, un panache de matière jaillit de l’impact, contenant roche et même des fragments du noyau de la planète. C'est l'unité standard pour la mesure des distances planétaires. Avec son piètement croisé en métal à la finition époxy noir, elle possède une excellente stabilité et un look unique qui ne laisse personne indifférent. Finalement, en environ 7 milliards d'années, la Voie Lactée et Andromède termineront leur fusion en une gigantesque galaxie elliptique. De nouvelles collisions et la fusion de corps de la taille de quasi-planètes permirent alors aux planètes telluriques de grossir jusqu'à leurs tailles actuelles (voir Planètes telluriques ci-dessous)[29]. Ce dernier réchauffera la planète jusqu'à ce qu'elle atteigne les conditions comparables à celles de la Terre aujourd'hui, offrant potentiellement un nouvel îlot possible pour la vie[94]. Dernier cas, qui est aussi le plus rare : il se produit lorsqu’un astéroïde de taille monstrueuse heurte une planète. En contrepartie, l'énergie, cédée par la planète, réduit sa vitesse de rotation. Les lunes des corps solides ont été créées par des collisions et par des captures. La Terre et la Lune illustrent cette situation. Certains furent même éjectés hors de l'influence gravitationnelle solaire. Nombre de lunes se sont formées à partir du disque gazeux et des poussières encerclant leurs planètes associées, alors qu'on suppose que d'autres ont été formées indépendamment puis capturées par une planète. Fred Hoyle élabore sur ces bases et explique que les étoiles évoluées qui sont appelées géantes rouges créent un grand nombre d'éléments plus lourds que l'hydrogène et l'hélium en leur sein. Un tel destin attend la lune Phobos de Mars dans un délai de 30 à 50 millions d'années[84], la lune Triton de Neptune dans 3,6 milliards d'années[85], la lune Métis et la lune Adrastée de Jupiter[86] et au moins 16 petits satellites d'Uranus et de Neptune. Dans la même échelle de temps, l'excentricité de Mercure pourrait croître encore davantage (dépasser 0,6), et des passages à proximité de Vénus, la Terre, et Mars pourraient théoriquement l'éjecter du Système solaire ou conduire à une collision avec ces planètes[79]. Vous n’êtes pas autorisé à lire ce forum. Le centre, où la plus grande partie de la masse était collectée, est devenu de plus en plus chaud, bien plus que le disque l'entourant[11]. En particulier, l'existence de couples Pluton-Charon et Terre-Lune, où le rapport des masses entre le corps central et son satellite n'est pas aussi prononcé que dans la plupart des autres systèmes, rend difficile la détermination d'une limite séparant un système satellitaire d'une planète double. À ce point, la densité et la température deviendront si hautes que la fusion de l'hélium en carbone commencera, engendrant un flash de l'hélium ; le Soleil diminue alors d'environ 250 à 11 fois son rayon actuel. À ce moment-là, toute forme de vie terrestre sera impossible[92]. Cette période de bombardement massif dura plusieurs centaines de millions d'années et est mise en évidence par les anciens cratères encore visibles sur les astres géologiquement morts du Système solaire interne, tels que la Lune et Mercure[1],[58]. À cause de la conservation du moment angulaire, la nébuleuse tournait plus vite à mesure qu'elle s'effondrait. Au cours du temps, ces anneaux « visqueux » entourant des planètes géantes ou des planètes dites « telluriques » telles que la Terre ou Pluton (la prédiction de ce modèle ne fonctionne pas uniquement pour la répartition des satellites de Jupiter) s'étalent (près de la planète les forces gravitationnelles tendent à faire s'accréter les grains qui les constituent mais les forces de marée les en empêchent) et lorsqu'ils atteignent une certaine distance de la planète (appelée « limite de Roche »), la gravité l'emporte sur l'effet de marée, ils forment ainsi de petits agrégats qui se détachent progressivement (sur des millions d'années) et s'éloignent. Les lunes extérieures des géantes gazeuses tendent à être petites et à avoir des orbites excentriques avec des inclinations aléatoires. À l'origine cependant, la ceinture de Kuiper était bien plus dense et bien plus proche du Soleil. Par exemple, Himalia (lune de Jupiter), Phœbé (lune de Saturne) et Néréide (lune de Neptune) ont une période de rotation de 10 h et une période orbitale de centaines de jours. Aujourd'hui, la Terre exerce un verrouillage gravitationnel sur la Lune, où une rotation est égale à une révolution (d'environ 29,5 jours). Après 50 millions d'années, la température et la pression au cœur du Soleil sont devenues si élevées que son hydrogène a commencé à fusionner, créant une source d'énergie interne qui s'est opposée à la contraction gravitationnelle jusqu'à ce que l'équilibre hydrostatique soit atteint[25]. Les observations ont en effet révélé, sur une épaisseur de 10 km, des matériaux de glace, structurés en mottes, qui se brisent et se reforment continuellement, renouvelant les anneaux. Initialement, cette naine blanche pourrait être 100 fois plus lumineuse que le Soleil actuel. Dans ce cas, le gain d'énergie de Neptune, Uranus et Saturne obtenu lors de leurs déflexions intérieures d'objets éjectés devient permanent. Une troisième possibilité est que les deux corps se soient verrouillés l'un sur l'autre. Actuellement, on pense que le Système solaire était très différent de ce qu'il est aujourd'hui après sa formation initiale : plusieurs objets au moins aussi massifs que Mercure étaient présents dans le Système solaire interne, la partie externe du Système solaire était beaucoup plus compacte qu'elle ne l'est maintenant, et la ceinture de Kuiper était bien plus proche du Soleil[36]. Ces trois populations clairsemées de petits objets de glace seraient le point d'origine de la plupart des comètes observées. En comparaison, les comètes issues de la ceinture de Kuiper ou de régions plus lointaines encore n'ont apporté que 6 % de l'eau présente sur Terre[1],[50]. La dernière modification de cette page a été faite le 8 décembre 2020 à 18:40. Bien que dans la quasi-totalité des cas les orbites des planètes internes devraient rester dans une certaine plage de distances les unes par rapport aux autres ; dans une « probabilité Â» estimée (dans les modèles) à quelques %, il est possible que les orbites s'elliptisent assez pour se recouper et provoquer une déstabilisation catastrophique des orbites des planètes internes. Après la formation du Système solaire, les orbites de toutes les géantes gazeuses ont continué à évoluer lentement. En effet, ces deux propriétés combinées ne peuvent pas être cumulées sur des lunes capturées. Abhandlungen der Geologischen Bundeanstalt, Wien, Eos, Transactions, American Geophysical Union, Proceedings of the International Astronomical Union, Annual Review of Earth and Planetary Sciences, Centre for International Climate and Environmental Research, Publications of the Astronomical Society of the Pacific, , « Earth's Place in the Solar System Â», Konstantin Batygin, Gregory Laughlin et Alessandro Morbidelli, «, Беларуская (тарашкевіца)‎, Srpskohrvatski / српскохрватски, Collision entre Andromède et la Voie lactée, galaxie à sursaut de formation d'étoiles, Formation and evolution of the Solar System, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Formation_et_évolution_du_Système_solaire&oldid=177418315, Portail:Sciences de la Terre et de l'Univers/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, Milliards d'années avant la formation du Système solaire, Les générations précédentes d'étoiles vivent et meurent, injectant, ~ 50 millions d'années avant la formation du Système solaire, Le Système solaire se forma dans une pépinière à étoiles, telle la, La nébuleuse pré-solaire se forme et commence à s'effondrer sur elle-même. Dans 3,5 milliards d'années, les conditions à la surface de la Terre seront similaires à celle de Vénus aujourd'hui[91]. Cependant, en 1957, le lancement de Spoutnik 1, le premier objet artificiel en orbite autour de la Terre, rend nécessaire la distinction entre les satellites artificiels et les satellites naturels. Aussi, les planétésimaux qui s'y formèrent ne pouvaient être constitués que de composants chimiques ayant un haut niveau de sublimation, tels que les métaux (comme le fer, le nickel et l'aluminium) et des roches de silicates. Enfin, d'autres encore, comme la Lune de la Terre, seraient (très probablement) le résultat de collisions cataclysmiques. Le Système solaire voyage autour de la Voie lactée selon une orbite circulaire, à approximativement 30 000 années-lumière du centre galactique. Une hypothèse pour ce « dumping d'excentricité Â» est que les planètes telluriques se seraient formées dans un disque de gaz qui n'aurait pas encore été expulsé par le Soleil. Cela pourrait aussi amener les orbites des autres planètes internes (Vénus, la Terre, et Mars) à se dilater et se recouper, entraînant un risque de collision. Parmi les planètes naines, Cérès n'en possède pas (au contraire de nombreux autres objets de la ceinture d'astéroïdes) ; Éris en possède un (Dysnomie) ; Makémaké en possède également un (S/2015 (136472) 1) ; Hauméa deux (Hi'iaka et Namaka) ; Pluton cinq (Nix, Hydre, Charon, Kerbéros et Styx). Les planètes gazeuses géantes, nommément Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune, se formèrent plus à l'extérieur, par-delà la ligne des glaces (aussi appelée ligne de gel). Toutefois, au fil du temps, la probabilité cumulative d'une rencontre fortuite avec une étoile augmente, et la perturbation des planètes devient pratiquement inévitable. Même ainsi, le Système solaire continuera à évoluer. Dans les deux cas, la décélération par la force de marée entraîne la lune dans une spirale qui la rapproche de sa planète jusqu'à ce que les contraintes de marée la brisent complètement. Le premier pas qui ouvrit la porte à une explication rationnelle fut l'acceptation de l'héliocentrisme, qui plaçait le Soleil au centre du système et la Terre en orbite autour de lui. L'eau est trop volatile pour avoir été présente lors de la formation de la Terre et a dû arriver ultérieurement depuis des régions plus lointaines et plus froides du Système solaire[48]. Pour estimer l'âge du Système solaire, les scientifiques utilisent les météorites, qui furent formées durant la condensation primordiale de la nébuleuse solaire. Néanmoins, un tel gaz, s'il avait existé, aurait empêché les orbites telluriques de devenir si excentriques dans un premier temps[29]. Au cœur de ces évolutions se trouve le phénomène de résonance orbitale, qui peut engendrer des phases critiques dans l'évolution des orbites sur le long terme (voir ainsi l'exemple de Mars et l'impact sur son climat). Les glaces qui formèrent les géantes gazeuses étaient plus abondantes que les métaux et les silicates qui formaient les planètes telluriques. Elles continueront à orbiter autour de leur étoile, leur vitesse étant réduite en raison de l'augmentation de la distance au Soleil et sa gravité réduite. Au plus proche du Soleil, ils orbitaient au-delà d'Uranus et de Neptune, qui étaient en rotation bien plus près du Soleil quand elles se sont formées (le plus probablement dans un intervalle de 15 à 20 UA). Au fur et à mesure qu'il brûle son combustible (de l'hydrogène), il accroît sa température et brûle le carburant restant d'autant plus vite. Lorsqu'il entre dans le disque galactique, ce qui a lieu tous les 20 à 25 millions d'années, il revient sous l'influence bien plus importante du disque galactique qui, selon certains modèles mathématiques, accroît le flux des comètes provenant du nuage d'Oort. Dans 50 milliards d'années, si elles survivent à l'expansion du Soleil, la Terre et la Lune seront en résonance complète, verrouillées par la force de marée. Néanmoins, les données de cette mission ont conduit les scientifiques à réviser leur point de vue initial. Galilée choisit pour sa part le terme grec latinisé stellae planetæ (« étoiles errantes », par opposition aux étoiles fixes) pour les désigner. Cas le plus rencontré : il faut que deux astéroïdes (rarement un seul), gravitant l’un près de l’autre s'approchent suffisamment d'une planète pour que son champ gravitationnel ne soit pas négligeable. À ce rythme, depuis sa formation, le système a déjà réalisé au moins 20 révolutions[107]. Sa composition était sensiblement la même que celle du Soleil actuel. En contraste avec les planètes externes, les planètes telluriques, internes, n'auraient pas significativement migré durant l'évolution du Système solaires, parce que leurs orbites sont restées stables durant les périodes des impacts géants[29]. Le Système solaire interne devrait connaitre une plus grande marge de chaos. La destinée de la Terre est moins claire ; alors que le Soleil enveloppera l'orbite actuelle de la Terre, il aura perdu le tiers de sa masse (et d'attraction gravitationnelle), ce qui amènera les orbites de chaque planète à s'agrandir considérablement[92]. Dans le futur, elle continuera de s'éloigner, et la rotation de la Terre continuera à ralentir graduellement. Ce processus continua jusqu'à ce que les planétésimaux interagissent avec Jupiter. L'immense gravité que la plus grosse planète du Système solaire exerçait alors sur eux les envoyait sur des orbites hautement elliptiques. Les bouts de roches s’agglutinent pour former un grumeau, qui sous les chocs d’autres fragments rocheux crée une sphère de roche qui grossit et absorbe les éventuels grumeaux voisins. Dans la plupart des cas, la force de marée causés par l'objet primaire rend un tel système instable. La lune extrasolaire Kepler-1625 b I est un satellite naturel de la taille de Neptune, or, on n'a jamais découvert un satellite naturel aussi grand dans notre Système solaire ce qui rend possible l'existence de satellites de satellites dans d'autres systèmes planétaires[11]. Sur une période de 100 000 ans[20], les forces concurrentes de gravité, de pression des gaz, de champs magnétiques et de rotation ont causé la contraction et l'aplatissement de la nébuleuse en un disque protoplanétaire tournant avec un diamètre d'environ 200 UA[11] et formant en son centre une proto-étoile chaude et dense (une étoile au sein de laquelle la fusion d'hydrogène ne peut encore débuter)[21]. Il éjectera alors ses couches supérieures selon le schéma des nébuleuses planétaires, et laissera derrière lui un cadavre stellaire : une naine blanche. Les étoiles âgées entre un et trois millions d'années possèdent des disques riches en gaz, là où les disques autour d'étoiles âgées de plus de 10 millions d'années, il n'y a plus du tout de gaz, suggérant que les planètes géantes gazeuses alentour avaient fini de se former[29]. On connaît 9 lunes orbitant autour de planètes naines : 5 pour Pluton, 2 pour Hauméa, 1 pour Makémaké et 1 pour Éris. Bien que la résonance elle-même reste stable, il devient impossible de prédire la position de Pluton avec un quelconque degré de précision après plus de 10 à 20 millions d'années[75], mais on sait dans quelle fourchette de valeurs elle doit se situer. Les perturbations gravitationnelles issues de la migration des planètes extérieures auraient projeté un grand nombre d'astéroïdes vers le Système solaire intérieur, en appauvrissant considérablement la ceinture originale jusqu'à ce qu'elle atteigne la très faible masse qu'on lui connait aujourd'hui[44]. Il y a encore quelques décennies[Quand ? L'une de ces collisions géantes est probablement à l'origine de la formation de la Lune (voir Lunes ci-dessous), alors qu'une autre aurait retiré l'enveloppe externe de la jeune Mercure[39]. Les étoiles de la séquence principale tirent leur énergie de la fusion de l'hydrogène en hélium dans leur cœur. Ceci amena Jupiter à se rapprocher significativement du Soleil[note 3]. Ces objets dispersés par Jupiter sur des orbites très hautement elliptiques forment le nuage d'Oort[32]. Alors que Jupiter migrait vers l'intérieur, poursuivant sa formation (voir Migration planétaire ci-dessous), les résonances auraient balayé des portions de la ceinture d'astéroïdes, perturbant la dynamique de la région et accroissant la vélocité relative des corps les uns par rapport aux autres[43]. D'autres systèmes pourraient avoir été formés par de petits objets capturés par la gravité d'un corps plus grand. Néanmoins la perte de masse de l'étoile pourrait engendrer le chaos dans les orbites des planètes survivantes, les amenant éventuellement à une collision, ou encore les éjectant complètement du Système solaire, à moins qu'elles ne soient complètement broyées par les forces de marées[103]. Cela devrait conduire à une période d'intense formation d'étoiles appelée une galaxie à sursaut de formation d'étoiles[110]. De tels objets sont également appelés lunes, par analogie avec la Lune, le satellite naturel de la Terre. Il serait faux de croire que cette collision peut perturber les orbites des planètes au sein du Système solaire. Par conséquent, sa luminosité diminue d'environ 3 000 à 54 fois son niveau actuel, et sa température de surface passera à environ 4 770 K. Le Soleil deviendra une étoile de la branche horizontale, brûlant l'hélium dans son cœur de façon stable, à la manière dont il brûle de l'hydrogène aujourd'hui. Certains des objets épars, notamment Pluton, devinrent gravitationnellement liés à l'orbite de Neptune, les forçant à des résonances orbitales[54]. À l'autre bout de l'échelle, les systèmes annulaires autour des géantes gazeuses du Système solaire sont composés de petits morceaux de glace et de roche ; il n'existe aucune limite définissant une taille à partir de laquelle un tel morceau est suffisamment grand pour être considéré comme un satellite à part entière. Elle finit par dominer le disque et reste seule en orbite, donnant naissance à un satellite. Les scientifiques estiment que le Système solaire est vieux de 4,6 milliards d'années. Une population de comètes de la ceinture principale découverte en 2006 a été aussi suggérée comme une origine possible de l'eau présente sur Terre[48],[49]. Dans un milliard d'années, les radiations émises par le Soleil auront augmenté et sa zone habitable se sera déplacée vers l'extérieur, rendant la surface terrestre trop chaude pour que l'eau à l'état liquide puisse y subsister naturellement. L'évolution des systèmes lunaires est pilotée par les marées. Si les planètes étaient des fluides idéaux, sans frottement, le renflement de marée serait centré sous le satellite, et aucun transfert d'énergie n'aurait lieu. Au cours de la fusion, la gravité accrue va forcer le gaz (s'il est en quantité suffisante) à se concentrer au centre de la galaxie elliptique en formation. Le nuage d'Oort débute à 50 000 UA[52]. Néanmoins, comme l'existence du Système solaire tel qu'il est défini actuellement n'était pas encore connue, la formation et l'évolution du monde n'y faisaient pas référence. Saturne effectuait une révolution autour du Soleil, alors que Jupiter en faisait deux[32]. Par conséquent, la position verticale du Soleil ne saurait, à elle seule, expliquer ces extinctions périodiques. Les masses combinées de Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune représentent 445,6 fois la masse de la Terre. Aussi, elles peuvent revenir perturber la planète qui retrouvera alors l'énergie initialement perdue. Fabriquée en Europe, la table basse VERTIGO est à la fois robuste, esthétique et pratique. Bienvenue sur la fanpage de Jacquie et Michel ! Alors que la gravité des nuages peut interagir et perturber le nuage d'Oort, les géantes bleues, qui ont une plus courte durée de vie, explosent violemment en supernovas[109]. Les modèles mathématiques montrent que les variations de température dans le disque gouvernent cette vitesse de migration, mais les planètes intérieures ont nettement tendance à se rapprocher davantage du Soleil, alors que le disque se dissipe. Laplace et Lagrange montrent enfin que les irrégularités observées sont des oscillations légères de la forme des orbites (excentricité). Elles auraient ensuite migré vers l'extérieur du Système solaire, sur une période de plusieurs centaines de millions d'années[31]. Des collisions entre des corps ont eu lieu continuellement jusqu'à nos jours et ont joué un rôle central dans l'évolution du Système solaire. Mais ce dernier, trop lourd à cause de la masse métallique extraite du noyau de la planète, chute à nouveau et va percuter une seconde fois la planète. Bien que la grande majorité des galaxies de l'univers observable s'éloignent rapidement de la Voie Lactée, la galaxie d'Andromède, le plus grand membre du Groupe local, se dirige vers nous à la vitesse de 120 km/s[110]. J.-C., elle resta en gestation pendant des siècles, et elle ne fut largement acceptée qu'à la fin du XVIIe siècle. Ainsi elle se refroidira progressivement, devenant de moins en moins lumineuse[104]. Lorsqu'il est à l'extérieur du plan galactique, l'influence des marées galactiques est au plus faible. Ces satellites naturels sont issus de l'un des trois mécanismes possibles : Jupiter et Saturne ont un grand nombre de lunes, telles que Io, Europe, Ganymède et Titan, qui pourraient provenir de disques autour de chaque planète géante en grande partie de la même façon que les planètes se sont formées avec le disque autour du Soleil[65],[66]. Elle sera entièrement constituée de carbone et d'oxygène dégénérés, mais n'atteindra jamais une température suffisante pour déclencher la fusion de ces éléments. Dans 7,5 milliards d'années, le Soleil s'étendra sur un rayon de 1,2 UA, c'est-à-dire 256 fois sa taille actuelle. À la fin de l'époque où les planètes se sont formées, le Système solaire était peuplé par 50 à 100 lunes, dont certaines avaient une taille comparable à celle de la protoplanète qui allait former Mars[37],[38]. Trouvez les réponses à toutes vos questions grâce à notre aide en ligne ! Les plus vieilles roches connues sur Terre sont approximativement datées de 4,4 milliards d'années[113]. C'est Képler qui les nomme « satellites » en 1611, du latin satelles signifiant « gardien » ou « compagnon », le satellite semblant accompagner la planète dans ses déplacements[5]. Des grains de zircon terrestres inclus dans des roches plus récentes qu'eux ont été datés de plus de 4,2 milliards d'années, voire jusqu'à 4,4. Ils retiennent alors plutôt comme déclencheur le fait que le Soleil traverse périodiquement les bras spiraux de la galaxie. Les astrophysiciens pensent que ce n'est pas par hasard si Jupiter se trouve juste au-delà de la ligne des glaces. Ce faisant ces petits objets voient leurs chances de rencontrer Jupiter, et donc leurs probabilités de se faire éjecter du Système solaire, augmenter. Il existe des exceptions ou des variations à ce modèle standard de formation. La planète dispersait la majorité de ces petits corpuscules de glace vers l'intérieur, tandis qu'elle se déplaçait vers l'extérieur. Théia se serait formé sur l'un des points de Lagrange du couple Terre-Soleil (soit L4, soit L5), puis il aurait dérivé de sa position[72]. We would like to show you a description here but the site won’t allow us. Finalement, le Système solaire externe est (quasi-)stable en cela qu'aucune de ses planètes n'entrera en collision avec une autre ou ne sera éjectée du Système solaire dans les prochains milliards d'années[77]. En effet, elles sont situées dans une région où la densité réduite de la nébuleuse et où la longue durée de l'orbite rendent leur formation hautement improbable. Par opposition, les satellites irréguliers (orbitant généralement sur des orbites distantes, inclinées, excentriques ou rétrogrades) seraient des objets étrangers capturés et éventuellement fragmentés lors de collisions. Une unité astronomique, ou UA, est la distance moyenne entre la Terre est le Soleil, soit ~150 millions de kilomètres. Neptune était alors plus proche du Soleil qu'Uranus[1],[32]. Au-delà de quelques dizaines de millions d'années, l'incertitude sur les orbites est énorme. Télécharger Meurtres à marée haute PDF. Quand Neptune, Uranus et Saturne perturbent les planétésimaux extérieurs, ces derniers finissent sur des orbites très excentriques mais encore attachées. Cette fois, la partie arrachée du noyau se fond quasi-totalement avec celui de la planète. L'hypothèse de panspermie propose que la vie ait pu être déposée sur Terre de cette façon, bien que cette idée ne soit pas largement acceptée par la communauté scientifique[51]. En outre, le gaz, en s'engouffrant dans le trou noir nouvellement formé, va le nourrir, le transformant en une galaxie active. La gravité de Jupiter augmenta la vélocité de ces objets avec leurs résonances, les amenant à éclater lors des collisions avec d'autres corps, plutôt qu'à s'agréger[42]. Ex : "avec souplesse" (attablé, autour d'une table) en la mesa, sobre la mesa loc adv locución adverbial: Unidad léxica estable formada de dos o más palabras que funciona como adverbio ("en vilo", "de seguido", "a quemarropa"). La période de fusion de l'hélium ne dépassera cependant pas 100 millions d'années. Selon l'hypothèse de la nébuleuse présolaire, le Système solaire s'est formé à la suite de l'effondrement gravitationnel d'un fragment d'un nuage moléculaire de plusieurs années-lumière de diamètre[11]. coformation depuis un disque circum-planétaire (seulement dans le cas des géantes gazeuses) ; formation depuis des débris d'impact (donné par un impact suffisamment important à un faible angle) ; capture d'un objet passant à proximité. Certains corps, comme (90) Antiope, sont des astéroïdes doubles formés de deux composants de taille similaire. La bordure extérieure de la région tellurique, entre 2 et 4 UA du Soleil, est appelée la ceinture d'astéroïdes. Cette origine est indiquée par l'importante taille des lunes et leur proximité à leur planète. L'embryon atteint alors 150 masses terrestres en seulement 1 000 ans, jusqu'à atteindre sa masse nominale, 318 fois celle de la Terre. Quand une géante rouge éjecte finalement ses couches externes, les éléments qu'elle y a accumulé sont libérés et peuvent être réintégrés dans la formation de nouveaux systèmes stellaires[8]. La version du 10 avril 2010 de cet article a été reconnue comme «, Du grand bombardement tardif à nos jours, Collision galactique et perturbation planétaire. La lune Desdémone d'Uranus peut aussi entrer en collision avec l'une de ses lunes voisines[87]. Il n'y a alors plus de transfert de moment angulaire, et la période orbitale n'évolue plus. Les candidats parmi d'autres au statut de planète naine Orcus et Quaoar en possèdent aussi chacun un. Le Système solaire a considérablement évolué depuis sa formation initiale. Les études des étoiles T Tauri montrent qu'elles sont souvent accompagnées par des disques de matière pré-planétaire avec des masses de 0,001 à 0,1 masse solaire[22]. Parmi les planètes internes, Mercure et Vénus n'ont aucun satellite, la Terre en possède un unique de grande taille (la Lune) et Mars deux lunes minuscules (Phobos et Déimos). Ganymède et Titan sont plus grandes que Mercure, la plus petite des planètes du Système solaire. Le terme de « satellite » devient la norme pour décrire un objet en orbite autour d'une planète, permettant d'éviter l'ambiguïté de « lune ». Toutes les orbites des planètes restantes vont s'étendre ; si Vénus, la Terre et Mars existent encore, leurs orbites seront à peu près de 1,4 UA, de 1,9 UA et de 2,8 UA. Cette matière va s’agglomérer, formant un nouveau corps. Le premier satellite naturel connu est la Lune. Par contre, on appelle toujours « satellite » les nouveaux corps détectés autour d'objets eux-mêmes en orbite autour du Soleil (leur désignation provisoire est « S » suivi d'un numéro, comme S/2004 N 1). Comme ces composés chimiques sont assez rares dans l'univers, correspondant seulement à 0,6 % de la masse de la nébuleuse, les planètes telluriques ne connurent pas une croissance très importante[11]. Le panache ainsi formé sera donc exempt de particules métalliques, plus lourdes. Ceci permit aux géantes de devenir suffisamment massives pour qu'elles finissent par capturer l'hydrogène et l'hélium, les plus légers mais aussi les plus abondants des éléments de l'univers[11].

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